« Je veux me sentir bien selon mes critères » : Sarah Jessica Parker en a assez qu’on salue ses cheveux gris

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sarah jessica parker

« Applaudissez quelqu’un d’autre ». L’année dernière, Sarah Jessica Parker a été photographiée au naturel sur la terrasse d’un restaurant new-yorkais : sans maquillage et avec des racines de cheveux blanches et grises. « On a salué mon courage pendant des mois. J’ai pensé qu’il serait plus judicieux de saluer le courage de quelqu’un pour un autre accomplissement que celui-ci« , a-t-elle indiqué dans une interview accordée au magazine Allure, le 23 juin dernier. 

L’actrice de 57 ans a par ailleurs regretté que tous les regards se soient tournés vers elle, alors qu’elle était accompagnée de l’animateur Andy Cohen, dont la chevelure est entièrement grise : « Andy a la tête couverte de beaux cheveux gris, mais personne n’en a parlé alors qu’il était assis juste à côté de moi. Absolument personne ». Une inégalité de traitement qu’elle dénonce, en interpellant notamment les lecteurs du magazine sur les produits anti-âge : « Nous n’en parlons jamais avec l’autre sexe. Nous ne disons pas aux hommes : voici une crème pour prétendre que vous n’avez pas vieilli ».

Quand je sors de chez moi, je veux me sentir bien, selon mes propres critères. Mais le fait que l’état de vos cheveux, de votre peau ou de vos mains puisse faire les gros titres blesserait même la personne la plus positive au monde. 

Le herringbone highlights, pour sublimer ses cheveux gris

La star de Sex and the City s’est récemment vers le herringbone highlights, un type de coloration qui consiste à fondre les cheveux gris et blancs avec d’autres tons, comme le blond. « Je n’ai aucune envie de perdre mon temps à aller refaire la couleur de ma racine toutes les deux semaines, c’est beaucoup trop, estime-t-elle. Je ne comprends pas pourquoi je suis censée y penser autant. […] Il y a un million de choses que je veux faire de mon temps libre, et aucune d’entre elles n’a à voir avec le fait de préserver mon apparence ou d’essayer de revenir à ce qu’elle était il y a 15 ans ». 

Et de conclure : « Nous passons tellement de temps à parler de l’accumulation des rides. Et c’est très étrange que nous ne disions pas que c’est avec le temps que nous devenions meilleures au travail, meilleures en tant qu’amies, que filles, que partenaires de vie, que sœur, etc« . 



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