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Bientôt fini de passer par l’étape inconfortable voire douloureuse de la mammographie pour dépister le cancer du sein ? Des scientifiques de l’Université de Sheffield Hallam au Royaume-Uni ont développé une nouvelle méthode de diagnostic moins invasive. Elle a été testée sur un groupe de 15 femmes atteintes d’un cancer du sein bénin, précoce ou métastatique. Des frottis ont été réalisés sur le bout de leurs doigts : le test de dépistage détecte en effet des biomarqueurs du cancer du sein dans des dépôts de sueur. Leur découverte semble très efficace, puisque les résultats de l’étude montrent une précision de 98 %. Mieux encore, le test ne permet pas seulement de détecter la présence d’un cancer du sein, mais également d’en déterminer le type et le stade.

Dans un communiqué de presse (source 1), la membre de l’équipe de recherche Lynda Wyld, professeur d’oncologie chirurgicale à l’Université de Sheffield et chirurgien oncoplastique à Doncaster Royal Infirmary ne cache pas son enthousiasme. « Cette nouvelle technique est encore à un stade précoce de son développement mais les résultats sont très prometteurs. Nous prévoyons d’entreprendre d’autres recherches pour confirmer ces résultats sur un grand groupe de femmes. La technique présente un grand potentiel à la fois pour le diagnostic et le dépistage du cancer du sein, mais également pour surveiller l’efficacité des traitements tels que la chimiothérapie. Le fait que la technique ne nécessite que des frottis du bout des doigts, faciles à transporter et à réaliser, peut également rendre le dépistage et le diagnostic du cancer du sein plus accessibles. » Le test élaboré serait en effet commercialisé sous forme de kit de dépistage à réaliser à la maison.

« Augmenter le recours au dépistage »

Au-delà de l’examen clinique des seins, tous les deux ans, il est fortement recommandé aux femmes âgées de plus de 50 ans de réaliser une mammographie, dans le cadre d’un programme national de dépistage. Malheureusement, nombre de femmes ne se font pas dépister assez tôt ou pas assez fréquemment, voire pas du tout. « Bien qu’efficace, la mammographie expose les individus aux radiations, présente des limites de sensibilité et de spécificité et peut provoquer une gêne modérée à sévère« , explique l’étude publiée dans la revue Nature (source 2).

Ainsi, ce nouveau test « aurait le potentiel d’augmenter le recours au dépistage, de réduire le stade au moment du diagnostic du cancer et donc de réduire la morbidité et la mortalité liées au cancer du sein précoce et à ses traitements. » Le cancer du sein est le plus fréquent chez la femme en France et dans le monde. Chaque année, il cause le décès de plus de 12 000 Françaises.



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Il ne s’en sortait plus tout seul. Mardi 21 février, Ferran Torres a confié à des médias catalans avoir consulté un psychologue pour l’aider à sortir du « puits sans fond » dans lequel il avait l’impression d’avoir plongé.

« C’est à ce moment que j’ai décidé de travailler avec un psychologue. Je n’avais pas confiance en moi, tout m’affectait. Ça a été une expérience très dure, très amère, mais aussi l’un des meilleurs moments, parce que désormais, je me sens plus fort« , a expliqué l’ailier du FC Barcelone. Avant d’ajouter : « Les gens n’ont pas pris en compte le fait que je suis arrivé à un moment compliqué, quand l’équipe était 9e de Liga, et que j’avais contribué à qualifier le club pour la Ligue des champions ».

Un équilibre retrouvé

Aujourd’hui, le joueur a retrouvé le plaisir de jouer : « J’étais trop obsédé par le but et le fait de ne pas jouer. Avant, je ne pensais qu’à marquer, même si je ne jouais pas bien. Aujourd’hui, j’ai appris à entrer sur la pelouse pour profiter, et à partir de là, les choses se passent comme elles doivent se passer ».

Pour lui, les rendez-vous avec le psychologue font désormais partie de son équilibre : « Aujourd’hui, il y a des semaines où je ne vais pas chez le psy, et d’autres où j’y vais trois fois dans la semaine. On ne parle pas toujours de football, on parle aussi de ma vie privée ».



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Les tendances mariage du printemps-été 2023 

Alors que le printemps 2023 se profile, il nous fait subtilement entrer dans la saison des mariages. Bien qu’elles soient également célébrées en automne-hiver, les cérémonies n’en demeurent pas moins plus nombreuses au printemps-été. Entre les températures bien plus clémentes, qui permettent d’installer les invités à l’extérieur et de danser sur la piste dehors jusqu’au crépuscule… Les périodes printanières et estivales s’imposent majoritairement comme les plus agréables pour fêter une union.

De même, ce climat profitable donne davantage accès à de sublimes robes de mariée, permettant d’arborer un dos nu, un décolleté plongeant, des manches courtes ou bien une longueur mini pour un gage de sensualité supplémentaire. Et ce, sans prendre froid. De même, si en 2023 la tendance mariage se tourne vers la robe “tatouage”, côté chaussures la hype vestimentaire fait tomber l’escarpin blanc de son piédestal. Preuve en est, avec les recommandations de notre journaliste mode.

Tendance mariage 2023 : quelles chaussures de mariée choisir ? 

Si l’on s’en réfère aux collections des maisons de luxe et de couture qui placent les influences bridal au premier plan, les chaussures de mariée de 2023 diffèrent avec celles des années précédentes. 

Du côté de Jacquemus, les sandales à brides et à sangles beige, dans les camaïeux taupe, parfairent les robes de mariée transparentes qui laissent subtilement entrevoir la culotte, le short cycliste ou tout autre shapewear féminin. 

Selon Virginie Viard pour Chanel, les bottines entrent en vigueur et décrochent un passeport pour faire décoller le style de la wedding dress. En 2023 et de préférence, les bottines se veulent vernies ou bien métallisées, dorées voire argentées de manière à attraper la lumière et à réchauffer la silhouette de la mariée. 

Du côté de Coperni, le duo de directeurs artistiques Sébastien Meyer et Arnaud Vaillant, a initié le port de mules rouges à fermeture éclair décorative. Une prise d’initiative que l’on approuve puisque l’aspect coloré des souliers met davantage en évidence le blanc de la robe de mariée. 

Se marier en ballerines ou chaussures plates

Pour ce qui est des ballerines, le charme opère chez Sandy Liang. La créatrice de mode a emboîté le pas à la tendance “chaussons de danse” relancée par Miu Miu l’an passé. On approuve l’idée de “se sentir bien dans ses baskets” en envisageant de porter des chaussures plates pour son mariage. En revanche, on évite de mettre des ballerines avec une robe de mariée midi, autrement dit entre le genou et le mollet, puisque cela va tasser la silhouette plutôt que de l’élancée. À la place, on valide une coupe mini ou longue jusqu’aux chevilles si l’on est grande. Pour ce qui est chaussures, place à la démonstration. 

À lire également :

Quel budget pour des chaussures de mariage ? 

Bien évidemment, tout dépend de votre propre budget. Somme toute, notre experte en style aurait tendance à vous recommander de vous accorder un petit excès shopping. Comment ? En vous autorisant à acheter des chaussures un peu plus “chères” sans culpabiliser, si votre budget le permet, car à défaut de la robe de mariée, des chaussures de mariage peuvent être reportées à maintes reprises.

L’occasion donc d’investir dans une jolie pièce haut-de-gamme ou bien de luxe, en respectant les limites que vous vous êtes fixées pour le coût total de votre look de mariage. Peut-être serait-il intéressant de diminuer le prix de votre robe de mariée en vous orientant vers un modèle plus accessible afin de débloquer quelques euros supplémentaires pour trouver une paire de chaussures qui fera vraiment la différence. Pour ce qui est des souliers de bride to be, place à la démonstration.

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variole

Au 24 janvier 2023, 4 982 cas d’infection au virus Monkeypox ont été recensés en France d’après les chiffres de Santé publique France. Une nouvelle étude publiée dans The Lancet met en garde contre une forme particulièrement grave de la variole du singe.

« Les personnes vivant avec le VIH ont représenté 38 à 50 % des personnes touchées lors de l’épidémie de mpox de 2022 dans plusieurs pays », rappellent les chercheurs dans cette étude. Une équipe de scientifique a examiné 382 cas de personnes atteintes d’une maladie à VIH avancée et touchées par le mpox. Une forme grave de la variole du singe a été identifiée, il s’agit d’un mpox fulminant. Au total, 27 patients sont décédés, tous avaient dépassé le seuil retenu du stade le plus avancé de l’infection à VIH (le syndrome d’immunodéficience acquise, ou sida) et avaient moins de 200 lymphocytes T CD4 par mm3 de sang.

Une infection grave pour les patients atteints d’un VIH

Selon les conclusions publiées dans The Lancet, cette « forme nécrosante sévère de mpox dans le cadre d’une immunosuppression avancée semble se comporter comme une affection définissant le SIDA ». « Le virus semble se comporter complètement différemment chez ces individus. Normalement, la maladie affecte la zone autour du site d’entrée, mais dans ce cas, elle se propage dans tout le corps et provoque ces lésions cutanées ulcéreuses massives et destructrices. Il provoque également des maladies pulmonaires. C’est horrible », décrit le professeur Chloe Orkin, de l’Université Queen Mary de Londres et du Barts Health NHS trust, citée par Le Guardian.

Le journal rapporte également que cette forme de la maladie pourrait tuer 15 % des personnes atteintes d’un VIH avancé et d’une immunosuppression, ce chiffre pourrait grimper à 27 % de décès pour ceux qui ont le plus faible nombre de cellules CD4. 

Au regard de ces conclusions, les chercheurs souhaitent que cette forme grave soit ajoutée à la liste des infections graves pour les personnes atteintes d’un VIH à un stade avancé de l’Organisation mondiale de la santé.



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vignette mon ado pleure

Un adolescent qui pleure, cela peut vouloir dire beaucoup de choses. Comment faire pour mieux le comprendre ? Et maintenir le dialogue ? Voici quelques pistes intéressantes données par Véronique Kohn, psychologue. 

L’article ci-dessous est la retranscription de l’interview accordée par Véronique Kohn en vidéo dans cet article. 

Un ado, ça pleure énormément

Les adolescents sont plus instables émotionnellement et c’est normal. Mais attention, cela ne veut pas dire qu’il ne faut pas s’en occuper. Il faut bien sûr éviter d’être en mode « bon, c’est normal, débrouille toi tout seul ». Pour bien s’occuper de son adolescent, c’est important d’être autour, et de maintenir la bonne distance. Qu’est-ce que ça veut dire ? Cela signifie : je n’en fais pas trop mais je ne fais pas rien.

Surtout ne pas le laisser seul… mais surtout ne pas en faire trop !

Donc il s’agit de surveiller sans poser dans questions trop invasives : « Est-ce que ça va ou pas ? Est-ce que tu as envie qu’on en parle (quand il ou elle pleure) ? Est-ce que c’est OK ? » Soit c’est OK, soit c’est pas OK, mais dans la façon de poser ces question, il y a quelque chose de l’ordre de “je suis là, je suis disponible à toi” . Mais sans en faire trop, parce que quand on en fait trop, cela peut très bien être reçu – surtout chez les adolescents – par une sensation de « je me sens envahi par toi ». L’ado pourrait alors penser : « Tu veux penser pour moi, tu sais pour moi ce qui est bon pour moi. Tu veux prendre le pouvoir sur moi et ça, c’est pas ok. »

Donner trop de conseils : l’erreur à éviter

Donc mon conseil est vraiment de laisser l’espace à la personne pour « aller vers » plutôt que de l’envahir. Et cela, souvent, les parents ne s’en rendent pas compte. En effet, quand on est père ou mère, on veut tellement bien faire qu’on envahit le champ de nos adolescents ou des personnes qu’on aime. De fait, là, on parle de nos ados, mais ce type de comportement, on peut très bien l’avoir avec notre partenaire, nos amis, de vouloir toujours prodiguer des conseils. Ce n’est pas terrible.



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Au rayon désir et libido, l’offre des sextoys est pléthorique, et la technologie rivalise avec le design. C’est bien joli, mais la sophistication de l’objet ne répond pas à la question de fond : en quoi cela sert mon intimité ? Quand j’utilise un sextoy, quel besoin fondamental – plaisir, détente, rapprochement avec mon partenaire ou au contraire autonomie sexuelle – est sous-jacent ? Pour répondre à ces questions intimes et essentielles, nous avons discuté avec Marie Bareaud, sexologue dans la région de Nantes. 

L’article ci-dessous est la retranscription de l’interview vidéo de Marie Bareaud.

A quoi sert un sextoy ?

De mon point de vue de sexologue, je crois que les sextoys parlent du désir de chacun, de ceux qui en achètent, d’investir leur sexualité. Je trouve que c’est une bonne chose. On a parfois l’impression que dans notre sexualité, les choses vont tomber du ciel, que c’est naturel, que l’on n’a besoin de rien faire, pas d’énergie à mener pour être heureux dans ce domaine. Et donc au contraire, les sextoys viennent nous dire à raison : oui, ça vaut le coup d’investir sa sexualité, ça vaut le coup de s’y intéresser d’un peu plus près.

La pratique du sextoy va aider des personnes qui ont conscience que ce n’est pas à mon conjoint de me découvrir. Ce n’est pas à lui de faire le travail à ma place. C’est à moi aussi de me découvrir.

La pratique du sextoy va aider peut-être des personnes qui ont conscience aussi que c’est pas à mon conjoint de me découvrir. Ce n’est pas à lui de faire le travail à ma place. C’est à moi aussi de me découvrir. Il me semble que c’est important. Notamment, je pense, par exemple, aux hommes qui ont des difficultés dans leur gestion sexuelle. Ce n’est pas à madame de venir m’aider pour m’entraîner à assumer la gestion de ma tension sexuelle. Il vaut mieux se débrouiller d’abord seul, s’entraîner seul, avant de demander à quelqu’un d’autre.

Côté femme, souvent, le sex toy va aider à se découvrir, à se dire : « Ah, tiens, je me rappelle que j’ai un pubis. J’ai des grandes lèvres, j’ai des petites lèvres, j’ai un clitoris. Comment ça fonctionne ? » Et souvent, le fait d’avoir une pratique seule, cela permet de ne pas avoir la pression du conjoint qui me regarde et pense je ne sais pas trop quoi.  Cela permet de ne pas être sous pression de performance.

Gare à la « course à l’orgasme »

C’est un point d’attention peut être dans l’usage du sextoy. Souvent, j’entends quand même dans mon cabinet des gens qui vont aller trop fort, trop vite, qui ne vont pas se respecter, qui vont aller à la « course à l’orgasme ». Or, il me semble que ce qui est intéressant, ce n’est pas l’orgasme, c’est le chemin qui m’emmène vers ça. C’est bien plus intéressant. Et quand un homme ou une femme est attentive au chemin qui emmène vers la jouissance, alors elle est dans le respect de soi-même parce que elle est dans l’écoute d’elle-même. Ce qui me paraît important, c’est que quand on est en mode :  « j’y vais en force », si je suis vraiment dans la course à l’orgasme, en fait, j’ai cette idée de performance. « Il faut que j’y arrive. Il faut que ça soit successful (plein de succès) ». Dans ce cas-là, je risque de passer en force, de me faire mal. J’entends parfois des femmes qui me disent qu’elles se font saigner avec leur sextoy. Quand on y va fort, ce qui va se passer, c’est que l’on va se désensibiliser, c’est-à-dire aller vers l’anesthésie.

Attention à ne pas anesthésier ses zones érogènes

Or cette anesthésie des sensations quand on y va trop fort avec son sextoy, c’est exactement l’inverse du plaisir. Dans les relations sexuelles, je ne sais pas si c’est toujours opportun. En tout cas, quand c’est madame qui veut utiliser un sextoy : moi j’ai parfois entendu ça « pour un peu donner un peu de piment » à la rencontre sexuelle. Mais alors Monsieur, à quoi sert il ? Et souvent ça va maintenir le conjoint dans l’idée qu’il ne sait pas faire, qui s’y prend pas aussi bien.

Moi, je suis sexologue, je suis plutôt pour la rencontre sexuelle, pour la richesse de la rencontre sexuelle. Donc forcément que je ne vais pas vous inviter à ça.



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selena gomez instagram

Sur les réseaux sociaux, de nombreux anonymes ont vite fait de pointer du doigt les défauts et imperfections des stars, et de les attaquer sur leur prise de poids. La chanteuse Selena Gomez en a de nouveau fait l’amère expérience récemment.

Alors qu’elle est apparue le visage comme « boursouflé » du fait d’une récente prise de poids, Selena Gomez a fait l’objet de violentes critiques quant à son apparence physique. Sur Tik Tok, la star américaine de 30 ans a jugé bon d’y répondre simplement, dans l’idée à la fois d’éduquer ces internautes indélicats et d’encourager ses abonnés à s’accepter tels qu’ils sont.

Selena Gomez a ainsi expliqué que les traitements médicaux qu’elle prend régulièrement pour soigner ou éviter les poussées de lupus entraînent une prise de poids due à une rétention d’eau. À l’inverse, lorsqu’elle cesse de prendre certains médicaments, elle a tendance à perdre du poids spontanément, sans le vouloir.

Et la chanteuse de poursuivre par un message de soutien : « Je voulais juste encourager tous ceux qui ressentent une sorte de honte vis-à-vis de ce qu’ils traversent. Personne ne connaît la véritable histoire. Je veux juste que vous sachiez que vous êtes beaux et merveilleux ». « Je préfère être en bonne santé, prendre soin de moi et prendre mes médicaments », a-t-elle poursuivi, avant d’ajouter qu’elle n’est pas « un top model » et « ne le sera jamais ».

« Merci de me soutenir et de comprendre. Et si ce n’est pas le cas, allez-vous-en, car honnêtement, je ne crois pas qu’il faille faire honte aux gens pour [leur] corps ou quoi que ce soit », a-t-elle conclu face caméra.

Rappelons que le lupus érythémateux disséminé, aussi appelé lupus érythémateux systémique, est une maladie auto-immune chronique, dont les manifestations cliniques sont très variées. Si la maladie évolue par poussées, elle demeure à vie. Les traitements comprennent la prise de diverses classes de médicaments tels que les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), les antipaludéens de synthèse, les immunosuppresseurs ou encore les corticoïdes. Ces derniers sont connus pour engendrer une rétention d’eau, et notamment des œdèmes et un gonflement du visage. Notons que la chanteuse Hélène Segara, sous corticoïdes du fait d’une maladie auto-immune affectant le nerf optique, est régulièrement la cible de critiques infondées et malveillantes quant à sa prise de poids et son visage gonflé.





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elie semoun capture rtl

Être parent est un métier difficile, et ce même lorsque l’on est une personnalité publique ou un humoriste. Elie Semoun l’a lui-même constaté, lui qui a eu du mal à entretenir une relation saine avec son fils unique, Antoine, né à l’été 1995.

Dans les colonnes de Voici (Source 1), l’acteur et humoriste aujourd’hui âgé de 59 ans a fait de rares confidences sur sa relation avec son fils, né de son amour avec Annie Florence Jeannesson.

« Il est la fierté de ma vie. Et le savoir enfin en accord avec lui-même est un immense soulagement pour moi », a confié Elie Semoun. Son fils de 27 ans est devenu peintre et exerce sous le nom d’Andy Santori. Il faut dire que le fils de l’humoriste a fait face à plusieurs difficultés dans sa vie d’enfant et d’adolescent. Né prématurément, le garçon a ensuite développé un syndrome d’Asperger, un type de trouble du spectre autistique qui complique la vie sociale et peut conduire à un grand isolement. Une particularité que son père n’a pas toujours su gérer, comme il le confesse lui-même. « Moi j’ai longtemps été dur avec lui, dans le déni de sa différence. J’étais exaspéré par son immo­bilisme, je crois que j’étais surtout très inquiet pour lui et que je ne savais pas l’exprimer autrement », a indiqué le comédien, actuellement à l’affiche de la pièce de théâtre Suite Royale. Désormais plus serein quant au futur de son fils, Elie Semoun se dit être son « meilleur agent » et lui souhaite « un bel avenir ».

Souvent très franches, sans filtre, les personnes atteintes d’un syndrome d’Asperger peuvent avoir des difficultés de communication et d’intégration, et peinent à comprendre les « codes » régissant notre vie en société. Lorsqu’ils essaient de s’intégrer, ils peuvent éprouver une extrême fatigue à tenter de comprendre ce qui leur échappe, par exemple la communication non verbale. Une aide psychologique peut alors être d’un grand secours, ainsi qu’un accompagnement personnalisé lors de leur scolarité, pour ne pas décrocher.



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salaries

La semaine de cinq jours pourrait bientôt être de l’histoire ancienne. Au Royaume-Uni, des entreprises ont mis en place une réduction des heures de travail sans baisse de salaire pendant six mois. Si la rémunération n’a pas baissé, les objectifs ont également été conservés.

Comment lutter contre le stress au travail ?

Alors, comment vont les salariés qui travaillent quatre jours par semaine ? Des scientifiques ont mené l’enquête, ils ont constaté que les taux de stress et de maladie étaient considérablement réduits parmi ces salariés. D’ailleurs, 71 % des employés rapportaient des niveaux inférieurs d’épuisement professionnel. Parmi les sondés, 39 % assuraient être moins stressés. Cette étude rapporte également une réduction de 65 % des jours de maladie et une baisse de 57 % du nombre d’employés quittant ces entreprises. Pour la même période, le chiffre d’affaires était quasi-identique.

Productivité améliorée

« Avant l’essai, beaucoup se demandaient si nous verrions une augmentation de la productivité pour compenser la réduction du temps de travail », a souligné le sociologue Brendan Burchell, qui a dirigé le côté de la recherche de l’Université de Cambridge, cité par un communiqué. Avant d’ajouter : « De nombreux employés étaient très désireux de trouver des gains d’efficacité. De longues réunions avec trop de personnes ont été écourtées ou complètement abandonnées. Les travailleurs recherchaient activement des technologies qui amélioraient leur productivité ».



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« Cette nuit, à minuit, mon petit ange, mon voleur de brosses à dents, mon petit lion au regard si doux, s’est envolé vers les étoiles, après 13 jours de lutte ». Lundi 20 février, Églantine Éméyé a annoncé le décès de son fils âgé de 17 ans, Samy. Polyhandicapé, le jeune homme souffrait également d’un autisme sévère.

« Mon Samychou, je t’aime… pour toujours. Ta maman a le cœur brisé, mais elle sait que tu n’auras plus jamais mal », a ajouté l’animatrice sur son compte Instagram. À cette annonce, de nombreuses personnes ont rapidement réagi et ont rendu hommage au jeune homme. À l’image de Nagui : « Ma douce Églantine tu as été et resteras une maman exemplaire. Samy a grâce à toi vécu des moments tendres et magiques malgré une douleur dont on ne peut se rendre compte. Ton ange s’est envolé, on l’aimera pour l’éternité comme on t’admire et comme on t’aime pour tout ce que tu fais ».

« Il a eu la meilleure mère du monde »

Hommage également sur Twitter de Julien Courbet : « Églantine je l’ai dit et je le répète le mot courage est bien trop faible pour décrire le combat que tu as mené à côté de ton fils. Après des nuits blanches à le calmer quand il était en crise, tu venais faire tes émissions avec le sourire. Il a eu la meilleure mère du monde ».

L’animatrice Laurence Boccolini a également rendu hommage au jeune homme et à sa mère : « Beaucoup de force et de courage à toi Églantine. Cet amour-là ne disparaît jamais. Des poussières d’étoiles sur cette si douloureuse blessure ». Depuis plusieurs années, Églantine Éméyé est à la tête de l’association « Un pas vers la vie » qui accompagne les enfants autistes et leur famille.



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